Que de regret parce qu'en cas de victoire on frappait fort et tout était encore permis. On fait le plus dur en ouvrant la marque, avant d'offrir l'égalisation à Uzes qui jusqu'à ce moment là ne voyait pas trop le jour. Ils nous le rendent bien en faisant une boulette à la fin, parfaitement exploitée par Neymar, et la c'est le drame. On recule et on subit les 10 dernières minutes. Avant l'égalisation (et au passage avec la vidéo on sait finalement toujours pas si le ballon est rentré ou non) on avait quand même eu chaud aux fesses 2 fois. Gavanon a notamment manqué d'être fusillé à bout portant quelques secondes avant, grâce à un retour in extremis d'un défenseur, je sais plus lequel j'étais trop loin de l'action.